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Lan Party Massacre
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Menu Principal / NEWS / retro / L'Année 2011 / avril 2011 / 18 avril / Du vendredi 6 mai au mercredi 1er juin aura lieu un cycle Cinéma Fantastique Japonais à la maison de la Culture du Japon à Paris intitulé "Le Cinéma japonais au surnaturel : les spectres de la J-Horror" ... (voir ci-dessous)

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L'ancien cascadeur David R. Ellis, réalisateur alternativement efficace (Destination finale 2 & 4) ou maladroit (Des serpents dans l'avion) renoue avec l'horreur en relief pour "Shark Night" 3D, qui sortira le 13 septembre aux USA. 
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Assuré du succès de "Real Steel", qui ne sera pourtant distribué que le 7 octobre prochain, DreamWorks envisage dores et déjà d'en faire une franchise. Le studio prépare actuellement la séquelle, pour laquelle il a engagé le scénariste John Gatins.

Du vendredi 6 mai au mercredi 1er juin aura lieu un cycle Cinéma Fantastique Japonais à la maison de la Culture du Japon à Paris  intitulé "Le Cinéma japonais au surnaturel : les spectres de la J-Horror" ... (voir ci-dessous) Du vendredi 6 mai au mercredi 1er juin aura lieu un cycle Cinéma Fantastique Japonais à la maison de la Culture du Japon à Paris  intitulé "Le Cinéma japonais au surnaturel : les spectres de la J-Horror" ... (voir ci-dessous)

Du vendredi 6 mai au mercredi 1er juin aura lieu un cycle Cinéma Fantastique Japonais à la maison de la Culture du Japon à Paris intitulé "Le Cinéma japonais au surnaturel : les spectres de la J-Horror" ... (voir ci-dessous)

         
Description: Du vendredi 6 mai au mercredi 1er juin : "Le Cinéma japonais au surnaturel ; les spectres de la J-Horror" ...

lieu : 101 Bis Quai Branly, 75015 Paris. Métro Bir-Hakeim / RER Champ de Mars Tél. 01 44 37 95 00 / 01 www.mcjp.fr

Petite salle (rez-de-chaussée) Tarif 4 € / Réduit 3 €
 

‘’En cette année 1998, ce fut d’abord comme une rumeur : un film japonais, réalisé par un inconnu, remportait un succès colossal, non seulement dans son pays d’origine mais à travers toute l’Asie. Il ne s’agissait pas d’un gros budget mais d’une série B d’épouvante, sans effet spéciaux ni hémoglobine, dont le final glaçait d’effroi les spectateurs : d’un écran de télévision émergeait un fantôme de jeune fille, vêtue de blanc. Ses longs cheveux tombaient sur son visage dont n’était visible qu’un œil dilaté qui pétrifiait ses victimes. Le titre même du film, Ring, était énigmatique.
Et de fait la rumeur s’avéra fondée : "Ring" d’Hideo Nakata n’était pas un film d’horreur comme les autres. Non content de revenir à des fondamentaux tels que la peur du noir et des créatures qui s’y dissimulent, il popularisa dans nos contrées un genre méconnu : le film de fantômes japonais. Ce qui intrigua les spectateurs occidentaux fut un rapport au fantastique très éloigné de notre pensée cartésienne. Les peuples d’Asie croient-ils d’avantage aux fantômes que les Occidentaux ? Cette question de la croyance, qui troubla nombre de critiques français à la sortie d’Oncle Boonmee d'Apichatpong Weerasethakul, se posait déjà pour le film d’épouvante japonais. La réponse se trouve peut-être dans les cimetières de Tokyo, comme celui d’Ikebukuro où repose le grand «fantastiqueur» Lafcadio Earn. A la différence des nécropoles occidentales, aucun mur ne sépare le cimetière du reste du quartier. Ainsi, à la nuit tombée, pur moment de poésie manga, on peut voir les écolières en costume marin rouler à vélo entre les tombes. Cette proximité des morts devient plus prégnante lorsqu’en juillet est célébrée O-bon, la fête des morts, équivalent de la Toussaint. Lors de ces étés bien souvent caniculaires, lorsque le soir apporte un peu de fraicheur, c’est le moment pour les Japonais de se raconter des histoires de revenants. C’est aussi la date rituelle des sorties de films de fantômes.
 
Le kaidan eiga et les fantômes du passé
Sadako était ainsi l’ambassadrice d’une tradition mais aussi de toute une culture cinématographique. Ce que nous appelons J-horror se nommait autrefois kaidan eiga (film de créatures de l’au-delà). Dès l’aube du cinéma japonais, dans les années 1910, le kaidan eiga adapta les pièces de kabuki ou les récits de Enchô San-yutei et tira son imagerie des estampes et peintures fantastiques. L’équivalent de Sadako se nommait alors Oiwa. Sa triste destinée fut contée en 1825 par Tsuruya Namboku IV dans la pièce kabuki Yotsuya Kaidan (Histoire du fantôme de Yotsuya). Oiwa était la malheureuse épouse de Iemon, un samouraï déclassé souhaitant se remarier avec une riche héritière. Défigurée par son mari, clouée à une planche et jetée au fond d’un étang, Oiwa revenait d’entre les morts pour réclamer justice. Oiwa et ses sœurs (citons les étonnantes femme-chats vengeant leurs maîtresses assassinées, Yuki Onna la belle femme des neiges dont l’époux humain trahit le serment) exprimaient bien sûr la colère des femmes japonaises pliant sous le joug de la domination masculine.
Si la légende d’Oiwa inspira nombre de cinéastes (Keisuke Kinoshita, Kenji Misumi, Tai Katô..), son plus brillant illustrateur reste Nobuo Nakagawa qui fut l’équivalent japonais d’un Terence Fisher ou d’un Mario Bava. Dans la version qu’il tourna en 1959 (en France, Histoire de fantômes japonais), les marais se teintent de rouge-sang et Oiwa se dresse, blafarde, dans la brume verdâtre. Les rares films de fantômes japonais à être arrivés jusqu’à nous, les prestigieux Contes de la lune vague après la pluie(1953) de Mizoguchi et Kwaidan (1964) de Masaki Kobayashi ne sauraient rendre compte à eux seuls de la richesse du genre, ni surtout de la violence macabre de son imagerie. Dans l’étonnant Jigoku (L’Enfer, 1960) de Nakagawa, tous les personnages (dont les 20 pensionnaires d’une maison de retraite) succombent à la 40e minute et se retrouvent aux enfers. On assiste alors à un festival de corps coupés en deux, de chairs brûlées et de damnés ébouillantés par de gigantesques démons écarlates. La modernité de Nakagawa s’ancre autant dans les couleurs morbides et les visions sanglantes, que dans un existentialisme le rapprochant de Yasuzô Masumura ou Nagisa Oshima (qui l’admirait). Le plan final, lugubre et fataliste, des Contes cruels de la jeunesse, réunissant dans la mort le visage des deux amants pourrait être tiré d’un film de Nakagwa.
 
Contes et légendes du Japon contemporain
Après l’aboutissement esthétique que représentèrent les films de Nakagawa, le genre s’éroda pendant les années 60. A ces histoires à la trame usée, les spectateurs préféraient les polars ironiques de Seijun Suzuki ou les aventures du rônin hanté Kiyoshiro Nemuri. La crise des studios aidant, le kaidan eiga disparut presque complètement des écrans à partir des années 70. La géniale comédie pop House (1977) d’Ôbayashi demeure une exception, mais il s’agit d’une parodie. Pourtant, les Japonais n’avaient rien perdu de leur goût pour le frisson et le surnaturel. Ils étaient friands des romans de Seishi Yokomizo (La famille Inugami) ou des mangas fantastiques de Kazuo Umezu (dont House reprend les ambiances gothiques). La fin des années 70 vit aussi l’émergence de célèbres légendes urbaines : la femme défigurée, que Chris Marker évoque dans Sans soleil, et qui taillade les enfants à la sortie de l’école, ou encore Hanako-chan, le fantôme des toilettes du collège. Les fantômes avaient tout simplement besoin d’opérer une mue, de quitter leurs kimonos et d’abandonner les marais méphitiques d’Edo pour gagner le Japon contemporain.
A l’origine de la renaissance, on trouve les scénaristes Chiaki J. Konaka et Hiroshi Takahashi et les cinéastes Norio Tsuruta, Kiyoshi Kurosawa et Hideo Nakata. Aucun n’était issu des circuits classiques : ils avaient fait leurs armes à la télévision, dans le V-cinema (distribution directe en vidéo) ou le film érotique à petit budget. La nouvelle vague de cinéma d’horreur commença discrètement avec une anthologie éditée en vidéo : Scary True Stories (Histoires vraies, 1991), écrit par Chiaki J. Konaka et réalisé par Norio Tsuruta. Les héroïnes de ces «terrifiantes histoires vraies» étaient des adolescentes kawaii croisant des écoliers ensanglantés dans les escaliers du collège, terrorisées par une femme en rouge dans un gymnase nocturne ou poursuivies par des nageuses fantômes dans les vestiaires de la piscine. Aussi modestes soient-elles en apparence, les histoires de Konaka et Tsuruta furent les premiers jalons d’un double projet : moderniser la figure du fantôme et mettre à l’épreuve du fantastique l’architecture bétonnée et impersonnelle du Japon contemporain.
Les cinéastes puisèrent également dans des formes populaires telles que les photographies de fantômes publiées dans les magazines à sensation ou les émissions reconstituant des phénomènes inexpliqués (Noroi (La Malédiction, 2005) de Kôji Shiraishi en est un pastiche). Cette culture sensationnaliste prenait d’une certaine façon la suite des récits fantastiques  colportés par les voyageurs qui constituèrent la base des premiers recueils folkloriques (Les Histoires qui sont maintenant du passé) ou duKwaïdan de Lafcadio Earn. Pour son roman Ring, Kôji Suzuki profita de ce regain d’intérêt pour le surnaturel et inventa la légende urbaine d’une cassette vidéo qui tue 7 jours après son visionnage. La J-horror dénote également le goût de ses auteurs pour certaines mythologies obscures mêlant science et ésotérisme : la nensha (la photo psychique) dans Ring, le mesmérisme dans Cure (1997) de Kurosawa, le phénomène Shaver (croyance en un peuple souterrain contrôlant l’humanité) dans Marebito(2004) de Shimizu.
 
Au-delà de la J-horror
On aurait tort de réduire la J-horror à une nuée de spectres échevelés et voutés hantant les télévisions et les puits. Plus que l’épuisement d’un filon, le genre fut le terrain d’expérimentation d’une poignée de cinéastes cinéphiles, férus de littérature fantastique, dont les goûts rencontrèrent pendant une certaine période ceux du public. AprèsRing, Hideo Nakata tourna Dark Water (2002), variation lugubre et déchirante sur le «haha-mono» (le genre du «film de mère») ; dans Kaïro (2001), Kiyoshi Kurosawa transforma les fantômes en créatures existentielles, symboles de la solitude dans un Tokyo déshumanisé. Asami, la femme fatale d’Audition (2002) de Takashi Miike, même si elle n’est pas à proprement parler une créature surnaturelle, en reproduit les attitudes et venge les femmes trompées et les enfants battus. Takashi Shimizu, le créateur de la série Ju-on (2000-2003), n’en finit pas de transformer sa maison hantée en laboratoire cinématographique, déstructurant le temps et l’espace autour des spectres de Kayako et de son fils Toshio.
Comme son prédécesseur des années 50, la J-horror connut un pic entre 2000 et 2005, avant de s’étioler, non sans avoir marqué le cinéma japonais même en dehors du film de genre.  Eureka (2000) de Shinji Aoyama, Nobody Knows (2003) de Hirokazu Kore-eda ou encore Rebirth (2007) de Yasuhiro Kobayashi, peignent un Japon crépusculaire, étouffant, qui est comme le pays des morts. En tournant Tokyo Sonata (2009), Kiyoshi Kurosawa met en pratique, dans un cadre social, son travail des formes fantastiques. Il filme un peuple invisible : les fantômes de la crise économique. Ces salarymen au chômage errent dans Tokyo, font la queue à la soupe populaire en costumes et attachés-case, et passent la journée dans les bibliothèques publiques.
Même si les films de fantômes ne constituent plus une manne aussi lucrative qu’au début des années 2000, ils n’ont pas pour autant totalement disparu et comptent encore de belles réussites. La dernière en date est Kyôfu (Terreur, 2010) de Hiroshi Takahashi, le scénariste des 3 épisodes de Ring et de Orochi (2008) de Norio Tsuruta (adaptation parfaite d’un manga de Umezu). S’inspirant du roman gothique Le Grand Pan (1884) d’Arthur Machen, Takahashi invente une opération du cerveau ayant le pouvoir de faire voir l’au-delà. Le cobaye devenu une sorte de limace humaine, voit grandir dans son ventre une entité lumineuse capable de relier les vivants aux morts. Cette alliance de Grand-Guignol et de métaphysique prouve que la J-horror, loin d’être une forme figée, porte en elles les germes de sa renaissance.’’
 
Stéphane du Mesnildot
 
- LES FILMS -
 
1927
Le Tour de passe-passe  闇の手品  (kurayami no tejina)
de Shigeyoshi Suzuki / 35' / VOSTF / Avec Jirô Mitamura, Tenzô Aizawa, Shôjirô Takamori. Film muet.
Conte moral fantastique dans lequel un petit garçon se voit confier par un mystérieux prestidigitateur une enveloppe contenant de l’argent. Celui-ci lui interdit de toucher à l’enveloppe jusqu’à ce qu’il revienne la récupérer. Le petit garçon saura-t-il tenir sa promesse ?
 
1929
Le Renard et le raton  怪談 狐と狸  (kaidan tanuki to kitsune)
de Jirô Yoshino / 36' / VOSTF / Avec Takeo Katsura, Kiyoko Izumi. Film muet.
Le film met en scène un couple qui ne cesse de se jouer des tours, à l’image du renard et du raton des contes fantastiques japonais traditionnels. Alors que tous deux se sont promis de mourir ensemble, la femme laisse son amant se jeter seul dans la rivière. Celui-ci décide de revenir hanter la traîtresse... Chaque personnage a plus d’un tour dans son sac.
 
1938
Le Mystère du shamisen hanté  怪猫謎の三味線  (kaibyô nazo no shamisen)
de Kiyohiko Ushihara / 85' / VOSTF / Avec Tokusaburô Arashi, Sumiko Suzuki, Shizuko Mori, Hiroko Takayama, Kinue Utagawa.
Pour une affaire de rivalité amoureuse autour d’un professeur de shamisen, une jeune fille de samouraï est assassinée par sa rivale. Le bien le plus précieux de la jeune défunte, le shamisen recouvert de la peau du chat du professeur, va revenir hanter la meurtrière...
 
1949
Le Fantôme de Yotsuya  四谷怪談  (yotsuya kaidan)
de Keisuke Kinoshita / 158' / VOSTA / Avec Kinuyo Tanaka, Ken Uehara, Haruko Sugimura, Keiji Sada, Ken Mitsuda
Première adaptation cinématographique notable d’après-guerre de la pièce de kabuki Tôkaidô Yotsuya kaidan de Nanboku Tsuruya IV, plus célèbre histoire fantastique du Japon. Kinoshita met l’accent sur le sentiment de culpabilité d’Iemon, le personnage principal, réalisant un film plus proche du drame psychologique que du film d’horreur.
 
1953
Contes de la lune vague après la pluie  雨月物語 (ugetsu monogatari)
de Kenji Mizoguchi / 94' / VOSTF / Avec Machiko Kyô, Mitsuko Mito, Kinuyo Tanaka, Masayuki Mori, Sakae Ozawa
Aux abords du lac Biwa en 1583, dans un Japon plongé dans la guerre civile. Les péripéties de Genjurô, un potier, et de son beau-frère Tôbei. Les deux protagonistes n’hésiteront pas à sacrifier leur famille et leur travail, le premier pour une ambition artistique démesurée et le second par soif de pouvoir. Ce film est une libre adaptation de deux nouvelles d’Akinari Ueda.
 
1958
Le Manoir du chat fantôme  亡霊怪猫屋敷 (bôrei kaibyô yashiki)
de Nobuo Nakagawa / 69' / VOSTA / Avec Toshio Hosokawa, Yuriko Ejima, Fujie Satsuki, Hiroaki Kurahashi, Hiroshi Hayashi
Un jeune couple emménage dans une maison abandonnée depuis cent ans. La femme, Noriko, est immédiatement hantée par les fantômes d’une vieille dame et de son chat. Par la suite, son mari apprend le drame qui s’est joué là il y a longtemps : une famille fut massacrée par un seigneur déséquilibré. Depuis, les victimes hantent la maison. Dans ce film, Nakagawa réussit à introduire deux histoires fantastiques : l’une se passe dans le Japon médiéval, l’autre dans le Japon contemporain.
 
1959
Le Fantôme de Yotsuya  四谷怪談 (yotsuya kaidan)
de Kenji Misumi / 84' / VOSTA / Avec Kazuo Hasegawa, Yasuko Nakata, Yôko Uraji, Mieko Kondô, Jôji Tsurumi
Première apparition du monstre sacré Kazuo Hasegawa dans un film de fantômes. Cette histoire d’amour et de vengeance dépeint Iemon comme un personnage sympathique, contrairement aux autres adaptations de Yotsuya kaidan.
 
Histoires de fantômes japonais  東海道四谷怪談 (tôkaidô yotsuya kaidan)
de Nobuo Nakagawa / 76' / VOSTA / Avec Shigeru Amachi, Katsuko Wakasugi, Noriko Kitazawa, Shuntarô Emi, Jun Ôtomo
Dans son adaptation de Tôkaidô yotsuya kaidan, Nobuo Nakagawa, dont la facture classique rappelle les scènes de kabuki, use de techniques surprenantes pour dépeindre l’univers effrayant des esprits vengeurs.
Interdit aux moins de 12 ans
 
1960
Le Démon du Mont Ôe  大江山酒天童子 (ôeyama shuten dôji)
de Tokuzô Tanaka / 114' / VOSTF / Avec Kazuo Hasegawa, Fujiko Yamamoto, Raizô Ichikawa, Shintarô Katsu, Kôjirô Hongô
À la fin de l’ère Heian. Un démon vient hanter Nagisa, la favorite de Fujiwara no Michinaga. Ce dernier demande à son général, Minamoto no Yorimitsu, de retrouver le démon dans son repère du Mont Ôe et de s’en débarrasser. Un grand film historique dont le casting réunit les acteurs les plus célèbres des studios Daiei.
19/05 18h30, 20/05 19h30
 
L’Enfer  地獄 (jigoku)
de Nobuo Nakagawa / 101' / VOSTA / Avec Shigeru Amachi, Yôichi Numata, Torahiko Nakamura, Fumiko Miyata, Utako Mitsuya
Deux étudiants, Shimizu et Tamura, renversent en voiture un homme ivre. Shimizu veut se dénoncer à la police, mais son camarade l’en empêche. Shimizu est tourmenté par sa conscience, et l’image de la mort le hante de plus en plus.
 
1961
Le Spectre de Dame Iwa  怪談お岩の亡霊 (kaidan oiwa no bôrei)
de Tai Katô / 94' / VOSTA / Avec Tomisaburô Wakayama, Jûshirô Konoe, Tosshô Sawamura, Hiroko Sakuramachi, Sônosuke Sawamura
Dans l’adaptation par Tai Katô de Yotsuya Kaidan, Iemon est un véritable anti-héros qui, guidé par sa soif de réussite, se montre violent et égoïste envers sa femme dévouée. Mais son ambition aveugle le perdra.
 
1965
The Haunted : Le Fantôme de Sierra de Cobre (sous réserve)
de Joseph Stefano / 52' / VOSTF / Avec Martin Landau, Diane baker, Judith Anderson, Tom Simcox, Nellie Burt
Nelson Orion est un architecte renommé qui enquête sur les phénomènes paranormaux. Un jour, Henry Mandour, un aveugle fortuné, lui confie qu’il reçoit tous les soirs des appels de sa mère, pourtant décédée, et lui demande d’enquêter... Épisode pilote d’une série télévisée américaine, sa diffusion aurait été annulée tant le film faisait peur. Diffusé au Japon en 1967, il a angoissé toute une génération de téléspectateurs, et inspiré de nombreux réalisateurs de films d’horreur.
 
 
1968
La Femme des neiges  怪談雪女郎 (kaidan yukijorô)
de Tokuzô Tanaka / 79' / VOSTF / Avec Shiho Fujimura, Akira Ishihama, Machiko Hasegawa, Fujio Suga, Mizuho Suzuki
Deux hommes pris dans une tempête de neige passent la nuit dans un refuge. Apparaît alors une étrange femme qui tue l’un des deux hommes de son souffle glacial. Elle consent à épargner l’autre, un beau jeune homme, à condition qu’il ne raconte jamais ce qu’il a vu.
 
1969
Les Portes de l’enfer  地獄変 (jigokuhen)
de Shirô Toyoda / 95' / VOSTA / Avec Kinnosuke Nakamura, Tatsuya Nakadai, Yôko Naitô, Shun Ôide, Yoshirô Uchida
En pleine apogée de la période Heian, le conflit entre deux hommes d’apparence totalement opposés : Horikawa, un seigneur irresponsable qui ne songe qu’aux plaisirs et un artiste coréen du nom de Yoshihide, obsédé par la mort et la misère de son époque. Un film basé sur une nouvelle de Ryûnosuke Akutagawa.
 
1973
Osen la Maudite  ㊙女郎責め地獄 (maruhi jorô seme jigoku)
de Noboru Tanaka / 77' / VOSTF / Avec Rie Nakagawa, Yuri Yamashina, Moeko Ezawa, Shigeru Dôshita, Akira Takahashi
Hier grande courtisane de Yoshiwara, Osen n’est plus aujourd’hui qu’une prostituée des bas-fonds
surnommée «Osen la maudite». Car coucher avec elle porterait malheur. À Yoshiwara d’où elle a
été chassée, trois de ses clients ne sont-ils pas morts dans des circonstances obscures ? Tombée
dans l’enfer des prostituées, Osen a su pourtant garder sa fierté de grande geisha. Elle affronte sa
destinée avec une vaillance surhumaine.
Interdit aux moins de 16 ans
 
1977
House  ハウス (hausu)
de Nobuhiko Ôbayashi / 88' / VOSTF / Avec Kimiko Ikegami, Kumiko Ôba, Ai Matsubara, Miki Jinbo, Mieko Satô, Masako Miyako
Fâchée contre son père qui songe à se remarier, la jeune Oshare décide de profiter des vacances d’été pour aller rendre visite à sa tante en compagnie de ses amies. Les jeunes filles sont ravies de respirer l’air de la campagne, mais bientôt d’étranges phénomènes se produisent. Film culte en Angleterre, House est un fim d’horreur mêlant fantastique, burlesque et humour noir.
 
1988
La Chanson maudite  邪願霊 (jaganrei)
de Teruyoshi Ishii / 49' / VOSTF / Avec Naoto Takenaka, Kazue Ishii
Plus de dix ans avant Le Projet Blair Witch, le scénariste Chiaki Konaka, dont l’influence sur la J-Horror fut déterminante avec sa fameuse « théorie Konaka », imaginait un film d’épouvante sous la forme d’un faux documentaire, réalisé par une équipe de télévision qui suit pas à pas les débuts d’une jeune chanteuse.
 
1991
Histoires vraies  ほんとにあった怖い話 (honto ni atta kowai hanashi)
de Norio Tsuruta / 138' / Avec Reiko Asanuma, Hiromi Kuno, Kazue Suzuki, Mai Moriguchi, Yumi Gotô, Shinobu Ishikawa
Une chambre ordinaire, les vestiaires d’une piscine, le gymnase d’une école, les couloirs d’un hôpital... autant de lieux ordinaires qui vont être le théâtre d’étranges phénomènes... Cette série d’Histoires vraies est souvent considérée comme la matrice de la J-Horror.
 
1996
Le Spectre de l’actrice  女優霊 (joyûrei)
de Hideo Nakata / 75' / VOSTF / Avec Yûrei Yanagi, Yasuyo Shirashima, Kei Ishibashi, Toshie Negishi, Ren Ôsugi, Takanori Kikuchi
Toshio Murai est réalisateur. En visionnant une scène qu’il vient de tourner, il remarque des images étranges qui semblent appartenir à un autre film. Les images lui évoquent un souvenir lointain, sans qu’il sache de quoi il s’agit. Le tournage se poursuit, mais d’étranges incidents se succèdent.
 
Door III (doa surî)
de Kiyoshi Kurosawa / 88' / VOSTF / Avec Minako Tanaka, Akiyasu Nakazawa, Rinko Mayumi, Hatsunori Hasegawa, Ryô Amamiya
Miyako, dynamique courtière en assurance, fait la rencontre de Fujiwara, un directeur d’entreprise, au cours de ses démarches. Tous deux sympathisent, cependant le comportement de Fujiwara se révèle de plus en plus étrange. Miyako décide d’enquêter sur son passé.
Interdit aux moins de 12 ans
 
Beautés ensorcelées  悪霊怪談 呪われた美女たち (akuryô kaidan norowareta bijo tachi)
de Norio Tsuruta / 100' / VOSTF / Avec Mika Yoshino, Rumi Mochizuki, Mari Tsutsumi, Misuzu Natsukawa, Ryûshi Mizukami, Naoya Ban
Une maquilleuse à qui un déséquilibré demande de farder un cadavre, une journaliste qui présente un reportage sur la légende d’un vampire, une jeune employée qui fait une expérience terrifiante dans une salle de montage... alors qu’elles attendent dans leur loge, quatre starlettes se racontent les expériences terrifiantes qu’elles ont vécu.
Interdit aux moins de 12 ans
 
1997
Cure CURE/キュア (kyua)
de Kiyoshi Kurosawa / 111' / VOSTF / Avec Kôji Yakusho, Tsuyoshi Ujiki, Anna Nakagawa, Masato Hagiwara, Yoriko Dôguchi
Un officier de police enquête sur une série de meurtres. Un jour, un jeune vagabond est arrêté sur les lieux du dernier crime. Il est vite identifié comme un ancien étudiant en psychologie devenu fou et ayant des pouvoirs hypnotiques pour pousser des gens à tuer. Le film qui a révélé Kurosawa en France.
Interdit aux moins de 12 ans
 
1998
Ring  リング  (ringu)
de Hideo Nakata / 101' / VOSTF / Avec Nanako Matsushima, Hiroyuki Sanada, Miki Nakatani, Yôichi Numata, Masako, Yûko Takeuchi
Une journaliste enquête sur une mystérieuse cassette vidéo. Selon les rumeurs, quiconque regarde cette cassette meurt dans les sept jours qui suivent. La journaliste, qui a vu la vidéo, n’a qu’une semaine pour trouver le moyen de survivre à la malédiction...
Interdit aux moins de 12 ans
 
2000
Séance  降霊 (kôrei)
de Kiyoshi Kurosawa / 118' / VOSTF / Avec Kôji Yakusho, Jun Fubuki, Tsuyoshi Kusanagi, Kitarô, Ittoku Kishibe
Dans la banlieue de Tôkyô, Jun et Kôji forment un couple sans histoires. Une fillette est kidnappée. Sans véritables indices pour faire avancer l'enquête, la police piétine. Un inspecteur fait alors appel à Jun, car elle possède des talents de médium. Tout bascule…
 
2001
Les Épouvantails  案山子 (kakashi)
de Norio Tsuruta / 86' / VOSTF / Maho Nonami, Kô Shibasaki, Grace Yip, Shunsuke Matsuoka, Lily, Kenzô Kawarazaki
Kaoru est à la recherche de son frère, qui a disparu sans laisser de traces. Trouvant chez lui une lettre d’Izumi, une ancienne camarade de classe, Kaoru décide de se rendre au village de Kozukata, dans la région natale d’Izumi. Adaptation d’un manga de Junji Itô, l’un des maîtres du manga d’horreur.
 
Kairo  回路 (kairo)
de Kiyoshi Kurosawa / 118' / VOSTF / Avec Kumiko Asô, Haruhiko Katô, Koyuki, Kurume Arisaka, Masatoshi Matsuo, Shinji Takeda
Taguchi, un jeune informaticien, est retrouvé pendu dans son appartement. Sous le choc, ses collègues cherchent à en savoir plus sur ce suicide inexplicable. À Tôkyô, l'inquiétude grandit au fur et à mesure qu’un virus se propage à travers les réseaux informatiques. Des petits groupes de jeunes gens tentent de résister, tandis que les disparitions se multiplient.
Interdit aux moins de 12 ans
 
2002
La forêt sans nom  名前のない森  (namae no nai mori)
de Shinji Aoyama / 71' / VOSTF / Avec Masatoshi Nagase, Kyôka Suzuki,Nene Ôtsuka
Mike Yokohama est un détective privé dont la mission est de faire sortir une jeune femme de la maison reculée où elle effectue une retraite. Il retrouve la jeune femme qui refuse de s’en aller. L’énigmatique docteur qui dirige la maison indique à Mike un lieu dans la forêt, où se trouve un arbre qui lui ressemble.
 
Dark Water  仄暗い水の底から  (honogurai mizu no soko kara)
de Hideo Nakata / 101' / VOSTF / Avec Hitomi Kuroki, Rio Kanno, Mirei Oguchi, Asami Mizukawa, Fumiyo Kohinata, Yû Tokui
Divorcée, Yoshimi élève sa fille dans des conditions précaires. Pour améliorer leur quotidien, elle décide d’emménager dans un appartement plus grand, mais les lieux se révèlent insalubres. Yoshimi ne trouve pas de travail et son mari souhaite récupérer la garde de sa fille. À mesure que l’existence de Yoshimi se dégrade, ses pires cauchemars s’incarnent...
Interdit aux moins de 12 ans
 
Ju-on/The Grudge  呪怨  (juon)
de Takashi Shimizu / 92' / VOSTF / Avec Megumi Okina, Misaki Itô, Misa Uehara, Yui Ichikawa, Yôji Tanaka, Kanji Tsuda, Kayoko Shibata
Rika, une assistante sociale, se rend chez une vieille dame alitée. Elle découvre dans la maison un petit garçon enfermé dans un placard, avant d’être agressée par un esprit malfaisant. Intervient alors un policier chargé d’enquêter sur la tragédie qui a frappé cette demeure maudite quatre ans plus tôt...
Interdit aux moins de 12 ans
 
2003
Ju-on 2 / The Grudge 2  呪怨 2  (juon 2)
de Takashi Shimizu / 92' / VOSTF / Avec Noriko Sakai, Chiharu Niiyama, Kei Horie, Yui Ichikawa, Shingo Katsurayama, Ayumu Saitô
Kyôko est une actrice qui participe à une émission télévisée consacrée à une demeure qui serait hantée. Le soir-même, elle est victime d’un accident de la route. Mais le cauchemar de Kyôko ne s’arrête pas là... Ju-on 2 est réputé pour être l’un des films les plus terrifiants de la J-Horror.
Interdit aux moins de 12 ans
 
2004
Marebito  稀人 (marebito)
de Takashi Shimizu / 92' / VOSTF / Avec Shinya Tsukamoto, Tomomi Miyashita, Kazuhiro Nakahara, Miho Ninagawa, Shun Sugata
Cameraman pour la télévision, Masuoka a filmé le suicide violent d'un homme dont le regard rempli d'effroi l'a subjugué. Il veut comprendre cette terreur. Il croit trouver des indices dans les souterrains de Tôkyô : marchant sur les traces des "Déros", un peuple de légende qui aurait investi le centre de la Terre pour tourmenter les hommes, il découvre une jeune fille enchaînée, laissée à l'état sauvage. Il la ramène chez lui, l'observe : il réalise qu'elle ne peut se nourrir que de sang et décide de subvenir à ses besoins...
Interdit aux moins de 16 ans
 
Histoires terrifiantes du Japon  怪談新耳袋 (kaidan shin mimibukuro)
de Keita Amemiya, Shun’ichi Hirano, etc. / 92' / VOSTF / Avec Naoto Takenaka, Yasufumi Hayashi, Maki Sakai, Kaori Sakagami, Saki Takaoka
Film à sketches se situant dans le Japon d’aujourd’hui, Histoire terrifiantes du Japon est la version cinéma d’une série télévisée elle-même adaptée des célèbres ouvrages de Hirokatsu Kihara et Ichirô Nakayama, qui ont rassemblé des histoires de fantômes basées sur des témoignages venant des quatres coins du pays.
Interdit aux moins de 12 ans
 
2005
La Malédiction  ノロイ (noroi)
de Kôji Shiraishi / 115' / VOSTF / Avec Masafumi Kobayashi, Marika Matsumoto, Kana Yano, Mitsuo Hori, Ungirls
Masafumi Kobayashi est un journaliste specialisé dans le paranormal. Dans sa dernière enquête, il rassemble des phénomènes paraissant tout à fait anodins et sans rapport les uns avec les autres : une femme se plaignant de bruits bizarres dans la maison voisine, une enfant-medium participant à une émission de télévision... Mais l'enquête de Kobayashi met à jour les liens entre tous ces événements, dévoilant petit à petit les différentes facettes d'une étrange malédiction.
 
2006
Retribution  叫 (sakebi)
de Kiyoshi Kurosawa / 104' / VOSTF / Avec Kôji Yakusho, Manami Konishi, Riona Hazuki, Takashi Ihara, Joe Odagiri
Le détective Yoshioka enquête sur plusieurs meurtres qui semblent reliés entre eux. Chaque victime est découverte noyée, le corps gonflé d'eau salée. Tourmenté par le stress et par la crise que traverse son couple, Yoshioka découvre sur les lieux des crimes des objets familiers qui le poussent à s'interroger sur sa propre culpabilité: se pourrait-il qu'il soit le meurtrier ?
Interdit aux moins de 10 ans
 
2008
Orochi おろち (orochi)
De Norio Tsuruta / 107' / VOSTF / Avec Yoshino Kimura, Noriko Nakagoshi, Mitsuki Tanimura, Tarô Yamamoto, Kyûsaku Shimada
Une nuit d’orage, la jeune Orochi vient s’abriter sous la demeure d’Aoi Monzen, une célèbre actrice de cinéma. Fascinée par les deux filles d’Aoi, Orochi décide de rester observer cette famille, en se faisant passer pour une gouvernante. Mais le comportement d’Aoi se révèle parfois inquiétant, et Orochi va découvrir la malédiction qui touche les femmes de la famille Monzen...
Interdit aux moins de 12 ans
 
2010
Le Bras  片腕 (kata ude)
de Masayuki Ochiai / 43' / VOSTF / Avec Mitsuru Hirata, Sei Ashina, Maiko Yamada, Tamae Andô, Mizuki Uchida
Une jeune femme propose à un homme de lui prêter son bras, le temps d’une nuit... Adaptation d’une nouvelle méconnue de Yasunari Kawabata, écrite vers la fin de sa
 
Le Nez   鼻 (hana)
de Sang-il Lee / 49' / VOSTF / Avec Yutaka Matsushige, Haruka Igawa, Hayate Koyama, Taijirô Tamura, Satoru Jitsunashi
Librement inspiré de la nouvelle éponyme de Ryûnosuke Akutagawa, le film raconte l’histoire d’un moine au nez monstrueux. Lee met l’accent sur les aspects terrifiants de la nouvelle.
20/05 17h00, 28/05 19h30
 
Des squelettes dans l’armoire  (Squeletons in the Closet)
Documentaire de Takahiro Hamano et Deborah Ann DeSnoo / 94' / VOSTF / Avec Utamaru Katsuta, Naoto Takenaka, Duncan Hamilton, Maki Inoue, Seiko Niizuma
Vidéos maudites, maisons habitées par un fantôme, cheveux qui sortent d’un robinet... Depuis quelques années, la vague de la J-Horror déferle sur le monde. Des squelettes dans l’armoire revient sur les facteurs de ce succès, et nous fait découvrir, en arrière-plan de ces histoires de fantômes, une culture du fantastique riche de plus de mille ans.
 
Terreur  恐怖 (kyôfu)
de Hiroshi Takahashi / 94' / VOSTF / Avec Mina Fujii, Yuri Nakamura, Nagisa Katahira, Sô Kusakabe, Yôichirô Saitô
Kaori et Miyuki sont sœurs. Une nuit, réveilllées par un cauchemar, elles ont une vision étrange. Dix-sept ans plus tard, Miyuki, obsédée par la mort, disparaît soudainement. Tandis que Kaori recherche sa sœur, sa mère, qui souffre de troubles psychologiques, tente de reproduire une dangereuse opération du cerveau qui leur permettrait de voir l’au-delà.
Interdit aux moins de 12 ans
 
Cold Fish  冷たい熱帯魚 (tsumetai nettaigyo)
de Shion Sono / 144' / VOSTF / Avec Mitsuru Fukikoshi, Denden, Asuka Kurosawa, Megumi Kagurazaka, Hikari Kajiwara
Shamoto tient une boutique de poissons tropicaux. Sa nouvelle épouse ne s’entend guère avec sa fille, Mitsuko, et cela lui fait peur. Un jour, prise en flagrant délit de vol dans un supermarché, Mitsuko va trouver en la personne de M. Murata, non seulement un sauveur, mais aussi un homme exerçant le même métier que son père mais à grande échelle. Il poussera même la bonté jusqu’à lui offrir un travail dans son magasin. Mais M. Murata, sous ses manières attentionnées, cache de nombreux sombres secrets …
Interdit aux moins de 16 ans
 
 
 
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Date: 16.04.2011 20:55
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Postée par: Alain


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